Sans aucun doute le plus beau des cinq, ce qui bien entendu n’engage que moi. Mais la vue de ce village c’est tout de même la carte postale des Cinque Terre.
Je m’attarde donc à fignoler toute l’architecture, les couleurs, etc. de mon dessin. Pas question que je rate ça.

Quelques jours plus tard j’y suis revenue, comme aimanté, pour faire la vue de l’autre côté du village. Très touristique, il est bien difficile de trouver une place à l’ombre … je trouve malgré tout un petit coin de banc taillé dans la falaise. Tout juste à côté des vendeurs d’aquarelles touristiques, je ne dis rien il faut bien gagner sa vie. D’autant plus que le soleil lui ne sais pas resté en place, du coup je prend le risque de faire des fautes de dessin avant de cuire sur place.

Je remonte ensuite dans la ruelle principale ou les restaurants rivalisent de plats exceptionnelles, mais même à 15h tout est encore complet. je fini par trouver une chaise un peu plus loin.

Je me retrouve à côté d’une table de touristes Français: ça parle Covid … Merde et merde difficile retour à la vrai vie même si bien entendu nous ne l’avions pas oublié respectant tout les gestes barrières. La discussion est tout de même un peu irréaliste dans cet endroit merveilleux, magnifique, poétique, riche de sa beauté.
Voila une bien triste transition pour vous écrire que cette article est le dernier avant, bien entendu que j’y retourne.

