



Cette rue rectiligne est d’après les autochtones, la plus longue de Cuba, elle va de la rivière « El Inglés » jusqu’au « Punta Gorda » et son jardin tout au bout.
Elle suit pendant un moment le Malecón, avec une vue sur la baie naturelle « Bahia de Cienfuegos ».
Le Malecón, ses palmiers qui flottent au vent, ses lampadaires. Certains ont 80 ans. Lorsqu’ils ont été installés, ils étaient ornés de gravures en relief ; aujourd’hui leurs bases servent de support à des promotions commerciales.
Les pêcheurs, à Cuba, la pêche n’est pas seulement un loisir, elle nourrit et les poissons s’échangent sur le marché noir. Par exemple, la pêche à la langouste est contrôlée par l’état et réservée aux touristes, alors qu’elle est l’un des plats emblématiques de l’ile.
Au loin, le long de la baie, les yachts blancs et leurs voiles.
Contraste toujours aussi frappant de la double économie cubaine. Les Cubains contraints de pêcher en face des yachts touristiques


